Paris, le 14 décembre 2018 – Les Grands Prix de la FAS (Fédération Française des Associations d’Actionnaires Salariés et Anciens Salariés), qui distinguent les sociétés françaises qui participent activement au développement de l’actionnariat salarié, récompensent cette année le Groupe Ginger et SoftFluent, tous deux accompagnés par Equalis Capital, leader français de l’actionnariat salarié des PME et ETI.  

Equalis Capital a accompagné le Groupe Ginger et SoftFluent aux étapes clés du développement de l’actionnariat salarié : ingénierie, ouverture du capital, déploiement.

Le Groupe Ginger, leader de l’ingénierie de prescription en France, a ainsi reçu le Grand Prix des Sociétés non cotées pour sa créativité sur les dispositifs d’actionnariat proposés, l’effort de son action qui s’inscrit dans la durée, le relais du management sur le terrain et un montage qui permet la maîtrise de la liquidité. « Il y a 5 ans, nous n’étions qu’à 2% d’actionnariat-salariés. Aujourd’hui, près de 42 % du capital du Groupe Ginger est détenu par son management et ses salariés, soit 420 personnes, représentant un tiers des effectifs. L’actionnariat des salariés permet de reconnaître leur action, leur participation aux performances de l’entreprise et de leur offrir un surcroît de reconnaissance. » Philippe Margarit, Président de Ginger.

SoftFluent, ESN spécialisée en développement sur les technologies Microsoft, a remporté le Grand Prix des PME/ETI/Start-up pour une première opération permettant de pérenniser l’entreprise par l’actionnariat salarié, pour l’engagement de l’entreprise et pour l’implication de son président. « Grâce aux opérations sur le capital de l’entreprise intervenues en 2018, celle-ci est aujourd’hui détenue par plus de 90 % de ses salariés, soit près de 50 personnes. La politique d’actionnariat salarié repose sur une vision de construction commune et de partage des résultats qui est au cœur de notre stratégie d’entreprise. » Daniel Cohen-Zardi, Président de SoftFluent.

« Lorsque les actionnaires sont dans l’entreprise, celle-ci est plus pérenne et plus compétitive. En effet, il n’y a pas de meilleur investissement que d’investir dans son entreprise. Dans un contexte de décrochage tendanciel des revenus du travail par rapport à ceux du capital, capitaliser sur son travail via l’actionnariat salarié est une solution qui fonctionne. C’est aussi un levier puissant de cohésion et donc de dynamisme économique.» Jean-Philippe Debas, Président d’Equalis Capital.