Paris, le 17 septembre 2019 – Equalis Capital, première société de gestion agrée AMF à se consacrer à l’actionnariat salarié des PME et ETI non cotées, dévoile les résultats de la 4ème édition de son baromètre de l’actionnariat salarié dans les sociétés non cotées. L’indice Equalis Capital poursuit sa progression pour la quatrième année consécutive. L’édition 2019 s’accompagne en outre, d’une enquête exclusive réalisée auprès des principales organisations syndicales.

 

Depuis 2016, l’indice Equalis Capital mesure la performance moyenne des entreprises qui ont ouvert leur capital aux salariés et du retour sur investissement pour les salariés actionnaires avant toute aide de l’entreprise. Il s’établit cette année à 2138 points, soit une progression de 12% par rapport à l’année dernière. L’indice Equalis Capital a doublé en trois ans.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autre point notable, le taux de souscription a atteint un niveau record en 2018/2019 (+58%), signe d’un engouement réel des salariés pour ce dispositif.

Ce taux pourrait être encore meilleur si de nouvelles mesures incitatives étaient prises aussi à destination des salariés que des dirigeants d’entreprise.

« Cette année encore l’indice continue d’augmenter et le taux de souscription n’a jamais été aussi élevé. On peut se réjouir du réel plébiscite des salariés lorsqu’il s’agit d’investir dans leur entreprise, commente Jean-Philippe Debas, Président d’Equalis Capital. Il faut maintenant faire en sorte que, lors de la transmission d’une entreprise, cette solution soit plus développée.

 

Recueil de la position des principaux syndicats

Cette année, le baromètre Equalis Capital donne la parole à différents syndicats, dont la CFDT, la CFTC, le MEDEF, la CGT et la CFE-CGC. C’est la première fois qu’un document centralise la position des principales organisations syndicales sur le sujet : des positions contrastées mais qui convergent positivement quand on aborde la question de la transmission de l’entreprise aux salariés.

Pour Jean-Philippe Debas : « si les sensibilités divergent sur le sujet, on peut constater que, dans le prolongement des débats sur la loi Pacte, il est devenu un enjeu économique et social majeur. Raison d’être des entreprises, Gouvernance, partage de la richesse, l’actionnariat salarié coche en effet toutes les cases. ».

 

Retrouvez l’intégralité du baromètre ainsi que la méthodologie ici.